Après Sachs (ça fait 3 jours que je ne parle que de ça putain !!!), je me suis mise à chercher des livres sur des sujets qui pourraient m’aider à avancer. J’ai cherché des livres sur le deuil, et notamment sur le deuil de la mère.

J’ai trouvé pas mal de livres, surtout un que j’ignorais : La mort douce de Simone de Beauvoir. J’ai pourtant pas mal lu du De Beauvoir au lycée, je n’avais pas tellement accroché, contrairement à Sartre. Et je suis passé entre celui là. Alors, il y avait ... merde ! J’ai pourtant tout noté ! Pardon mère, la femme, et d’autres dont je ne me rappelle plus le nom, ni l’auteur, il y avait la dernière leçon de Châtelet. Et j’ai commandé finalement un livre...... dont.... je ne me souviens plus le nom .... le nom .... aheuuuuummmm..... Je vais prendre un coca cola plutôt ..... Je ne suis pas sortie de ma nuit, quelque chose comme ça, de Annie Ernaux.
Je voulais tous les prendre, puis je me suis limitée à un. Puis quand j’ai vu qu’il ne faisait qu’une centaine de pages, j’ai été déçue. Elle parle de la maladie de sa mère, atteinte de Alzheimer.

Aussi, en lisant les secrets de psy, le type parlait le son malaise dans le métro, et il expliquait que pour régler ses peurs, il faut s’y confronter. Facile à dire ma foi. Et je me suis dis, je devrais me faire une cure dans ce style et me forcer à sortir ailleurs que dans le jardin. Ca m’a vraiment motivée de me dire, tu vas te forcer à prendre le train, même si c’est pour rien, salope ! Et fuck j’ai la flemme. Aujourd’hui, j’ai la flemme. Encore il ferait beau, oui, pourquoi pas se balader, mais il ne FAIT PAS BEAU ! Il ne fait jamais beau, ça me désespère, je vais me pendre a mon porte manteau avec les ficelles de ma capuche ! Bouhouhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Et je dois sortir aller à la poste, pour deux connards qui glandent rien encore ! Mais il fait trop froid, je pourrais décaler à demain. Faut dire, la poste est à 10 minutes, c’est loin. C’est bien trop loin pour moi. Je ne pourrais jamais y arriver.... trop trop trop loin !

Je ne préfère même pas penser à mon futur, omg