Tomber huit fois, se relever neuve

Dr. Sachs (fin)

J’ai finis de lire La maladie de Sachs. Ho ce livre était fait pour moi. Quand j’ai lu la fin, il disait ce que je pensais et c’était magnifique. Je vais voir si je vais l’emmener à la psy, car c’est exactement ce que je pense et qui m’entraine parfois des angoisses.

J’adore quand dans les livres, il y a différentes histoires, et d’un coup, elles se regroupent, et on apprend que le vieux monsieur est le grand père de la jeune fille et que madame machin est la mère de madame truc. J’adore et à chaque fois je me laisse avoir ! Ha ha !
J’ai vraiment adoré ce bouquin, putain, je veux en lire tous les jours des comme ça ! Et plus le temps passait à le lire (bon ça va oui ! J’ai pas mis 15 ans non plus), plus je l’apparentais à Yalom. Parfois même je me disais dans ma tête où est-ce que j’ai foutu Yalom ? Et en vrai non ! C’est Winckler. C’est fou !

Je vais citer un paragraphe, celui qui m’a fait pleurer et pour moi, la plus belle citation de ce livre :

"Aimer c’est être impuissant contre le temps, et en avoir conscience.
Aimer, c’est savoir que l’amour n’aura qu’un temps, tout le temps de la vie peut-être, mais seulement ce temps-là.
Aimer, c’est savoir que si l’on ne meurt pas le premier, on verra l’autre mourir.
Qu’on verra la vie et l’amour mourir chez l’autre, avant même que l’autre ne meure. Et en voyant l’autre mourir, on mourra tout vif"

Et hop. Il faut que je trouve un autre personnage qui voudra bien de moi, peut-être Christophe André.
Merci Winckler. Merci docteur Sachs.